Claire Combastet, 25 ans de Lyceum

Madame la présidente de la Fédération, chère Isabelle, Madame la Présidente chère Pascale, Mesdames les past présidentes et chères amies,

Merci à toi Pascale de m’avoir sollicitée pour parler de notre amie Claire Combastet, cela m’a touchée et honorée.

Claire, lumineux prénom, pour une belle personne, qui fleure bon l’air pur et lumineux de sa Savoie.

Raconter Claire est une gageure, 

Claire, tu et unique et multiple, et dès notre rencontre nous nous sommes trouvé des affinités élémentaires et particulières.

Tu es originaire de Chambery (comme une partie de ma famille) et fière de l’être : tu en porte toutes les belles qualités : indépendante, sensible et gaie, sociable et ouverte, une âme élevée et forte, pure et lumineuse comme l’air de ton pays. 

Très jeune tu entre au Quai d’Orsay et déjà ton esprit d’ouverture aux autres, ta curiosité intellectuelle, ton goût des arts et ton humour font merveille.

Très vite tu rencontres ton époux Michel, et deviens »sa folie douce » (le mot n’est pas de moi. )

Main dans la main , couple fusionnel, vous avancez  en regardant dans la même direction . Parents exemplaires de trois enfants (nous avons la joie d’avoir ta fille Carole parmi nous) , les épreuves de la vie ne vous épargneront pas, vous y ferez face avec un courage qui  n’a d’égal que votre résilience.

Tout au long de ces années, très active, tu t’implique tout à la fois dans un club d’investissement, qui te permettra d’acquérir une magnifique collection de sanguines de Jules Cheret , et dans diverses associations, dont France-Italie, et Bienvenue en France . C’est là que tu  rencontreras ta chère amie Marina , déjà lycéenne. Ensemble vous partagerez  ô combien de voyages  et ô combien de bridge !et tant d’autres souvenirs. Quand on aime, on ne compte plus !!

Tu entreras au Lyceum en 1995

Fidèle à ta nature si ouverte, tu seras très vite  membre du Conseil pendant 10 ans, sous les présidences de Solange de St Rapt et de Solange Descours et tu t’attachera à accueillir régulièrement les lycéennes venant d’autres pays.

A contrario, d’esprit curieux, avide de découvrir et de rencontrer, tu participe chaque fois que faire se peut aux voyages du Lyceum, pour visiter nos amies de l’international où tu retrouve   toujours les valeurs lycéennes d’amitié, de culture, de partage et d’échange qui te sont chères. 

En 2008 pour les 100 ans du Club de Florence, tu prends l’initiative d’inviter une proche  amie bruxelloise, Marie Claude Stéfanovic, qui repartira convaincue de créer à Bruxelles un Lyceum : ce qui fut fait tambour battant.

Lors de mon entrée au Lyceum, tu m’as accueilli avec ta générosité et son ouverture d’esprit habituelle, ta gaité et son humour faisant merveille auprès des jeunes lycéennes nouvellement adoubées ; t’écoutant avec attention, ta voix et ton rire  si particuliers, réveillaient en moi des souvenirs lointains , de copains d’avant : c’est ainsi que nous avons découvert que ta sœur France et ton frère André faisaient partie de ma garde rapprochée quand j’étais étudiante !!( autre affinité) 

Depuis presque 30 ans, ma chère Claire, toujours présente, fidèle, attentive et ouverte aux autres, tu rayonne au Lyceum tant auprès de nos plus anciennes amies avec lesquelles tu as tissé des liens très forts, mais également auprès des nouvelles venues, qui en t’écoutant découvrent avec bonheur ce que j’ai moi-même trouvé en entrant au Lyceum : le Gout des autres et celui de l’esprit.

Merci Claire d’être là et d’être Toi. 

Véronique Matteoli


Yoko Grandsagne, 25 ans de Lyceum

Ma chère Yoko,

C’est à moi que revient l’honneur de te présenter à nos amies pour fêter ensemble ce bel anniversaire.

Étudiante japonaise, tu es arrivée à Paris pour entrer aux Beaux-Arts et tu décides de t’établir dans notre belle ville. Une de tes amies te parle du Lyceum Club International de Paris et t’invite à participer aux activités. Tu es admise au sein du LCIP en 1996, sous la présidence d’Hélène de la Baume, avec pour marraines Lucile VIGNIAL et Jacqueline OQUET, toujours membres du club.  Tu étais l’une des plus jeunes membres, puisque tu avais une trentaine d’années.

Tu déploies tes talents d’artiste peintre, spécialisée dans le travail de la feuille d’or et tu deviens une artiste reconnue qui nous a éblouies par tes magnifiques expositions, que ce soit notamment à Nice, Paris ou à Vienne, en Autriche. Solange Descours t’a régulièrement mise à l’honneur dans « la vie du Club », en informant les lycéennes de tous tes travaux.

Parallèlement, tu t’intéresses au bien-être et aux techniques de relaxation. Tu avais donné une conférence sur ces sujets à l’Interallié en 2018. Tu as d’ailleurs développé tes propres techniques de méditation dont tu fais bénéficier un public japonais, notamment grâce au développement des outils digitaux.

Depuis quelques années, nous te voyons moins souvent : tu résides principalement à Nice mais tu restes fidèle au LCIP où tu as de nombreuses amies.

Merci Yoko pour ta grande amitié à laquelle nous sommes sensibles.

Geneviève Sabet


Présentation de Catherine Joly 

Madame la présidente, chère Pascale, 

Madame la past-présidente, chère Isabelle, 

Madame la présidente d’honneur, chère Solange, 

Chères amies,

J’ai l’honneur et le grand plaisir de vous présenter Catherine Joly.

Même si cela peut prêter à sourire, je peux dire sans exagérer que Catherine est une vieille connaissance de Monique Muyard, de Marie-Thérèse Oudin et de moi-même, ses trois marraines dans les faits.

Nos premières rencontres datent d’environ 40 ans dans les couloirs du Sénat, puisqu’elle venait  parfois dîner ici même avec son mari, qui était l’un de nos proches collègues. À l’époque, ayant terminé ses études de droit, elle préparait un concours d’entrée dans l’administration de l’Assemblée nationale, concours qu’elle a réussi brillamment en 1983. 

Au sein de l’Assemblée nationale, Catherine a accompli une carrière exemplaire, jusqu’à devenir en 2014 directrice du service du compte rendu de la séance (le compte rendu publié au Journal officiel des débats de l’Assemblée nationale), et première femme à occuper ce poste.

Au cours de cette carrière intense, le rythme effréné des séances, les débats parfois houleux et les très longues nuits de travail ne semblaient pas avoir de prise sur elle. Quelle que soit l’heure de fin de la séance et donc le peu d’heures de sommeil, collègues, députés et ministres ont toujours vu apparaître le lendemain une femme élégante, au visage serein. 

Catherine est d’un naturel très aimable, toujours gaie et souriante. Elle est dotée d’une grande capacité d’adaptation, aime la convivialité et discute avec aisance et brio avec tout le monde. Celles d’entre vous qui ont eu l’occasion de la côtoyer au cours des dernières semaines, au ciné-club, au goûter de Noël, au musée Carnavalet ou à la conférence de Jean-François Clervoy, s’en sont d’ailleurs rendu compte. 

Voilà 3 ans, après 35 ans d’activité professionnelle, Catherine a choisi d’anticiper un peu son départ de l’Assemblée nationale afin de disposer enfin de temps pour elle sans risquer d’être rappelée pour une séance imprévue ou une session extraordinaire du Parlement. Elle ne manque pas d’idées pour s’occuper, car elle aime les voyages, notamment en Italie et en Espagne, le ski, la musique, notamment baroque, les spectacles de danse, de théâtre, les expositions, en un mot les activités culturelles, et elle conserve  bien sûr un goût prononcé pour la politique. 

Je ne peux terminer cette présentation sans vous conter une anecdote: en septembre 2018, Catherine déjeunait au restaurant Le Fumoir avec sa mère et son fils cadet, Nicolas. À un moment, sa mère attire son attention sur un groupe de femmes particulièrement élégantes. Catherine regarde… et découvre tout d’abord Monique Muyard, puis Marie-Thérèse Oudin au milieu de cette belle assemblée féminine. Il s’agissait en fait d’un déjeuner avec nos amies Lycéennes belges.

Je résume donc : une personne élégante et cultivée, qui aime les activités culturelles et la convivialité, et qui admire des Lycéennes avant même de connaître l’existence du Lyceum ! Je ne doute pas que vous serez d’accord avec moi : Catherine a toute sa place au sein du Lyceum Club International de Paris, et je lui souhaite d’être très heureuse avec nous. 

                                                                                                                      Françoise Wiart


Michelle Deroure, 25 ans de Lyceum

Discours à Michelle Deroure : médaille 25 ans Lyceum

Madame la Présidente, Chère pascale,

Lorsque tu m’as demandé de dire quelques mots au sujet de Michelle Deroure pour ses 25 ans
passés au Lyceum, bien que je n’y sois entrée qu’en 2011, j’ai volontiers accepté, car l’Histoire
a ses clins d’œil et Michelle m’a aidée par ses écrits.
Je commencerai mon propos en disant : « Tous les chemins mènent au Lyceum »
Michelle est une femme cultivée et charmante. Je vous propose de partir en voyage avec elle à
20000 kms de Paris et 20 heures de vol. Attachez vos ceintures.
Originaire de l’Anjou, passée par les rues d’Assas et des St Pères, Michelle rencontre un homme
d’affaires qui l’emmène vivre au bout du monde : Djibouti, Nouvelle-Calédonie, Nouvelles
Hébrides devenues le Vanuatu, Wallis et Futuna, territoires que j’ai bien connus par sénateurs
interposés, car ils ont illustré mes plus belles nuits au service de la République. Quelques noms
me reviennent en mémoire : Lafleur, Ukeiwé, Loueckhote et notre, chouchou, Sosefo Makapé
Papilio, resté 27 ans sénateur de Wallis et Futuna...
Veuve dès l’âge de 39 ans, Michelle revient à Paris.
Six ans plus tard, en 1981, elle repart à Nouméa pour revoir sa belle-famille.
Là la magie de la Mélanésie opère : Michelle séduite par le président de la cour d’appel de
Nouméa, se remarie et se réinstalle en Calédonie, appréciant de nouveau la vie dans cette nature
luxuriante et les grands espaces de brousse, tels qu’on en trouve en Australie... et dans les
westerns américains.
Suivent des années à propos desquelles Michelle écrit : « J’ai aimé cette expérience, la beauté
des paysages et la gentillesse des Mélanésiens. »
Carrière oblige, en 1987, son mari est nommé président de la cour d’appel de Dijon.
Dijon pendant deux ans, là où Michelle découvre l’existence du Lyceum. Elle est invitée à
participer à un goûter très sympathique chez des Dijonnaises. Michelle écrit : « J’en retiens
l’idée. »
En 1989, retour définitif à Paris, la Cour de cassation pour son mari et les joies de sa famille
retrouvée pour Michelle.
Une amie Monique Taittinger lui parle alors du Lyceum, et pour l’attirer l’incite à
l’accompagner à la rencontre des Lycéennes de Londres.
En 1996, sous la présidence de la Comtesse Hélène de la Baume, Michelle entre au Lyceum
avec pour marraines Monique Taittinger et Viviane Theulet-Luzié, une amie de sa famille.
Puis, attirés sans doute par le beau temps du Midi, Michelle et son mari vivent la moitié de
l’année à Cannes...En 2011, j’entre au Lyceum. Subjuguée par sa présidente, Solange Descours, je participe à
toutes les activités à l’instar de Marie-France Juilliard, à laquelle je tiens à rendre hommage
émouvant, car elle m’a accompagnée avec une grande gentillesse dans mes premiers pas au
Lyceum.
Je vois beaucoup de visages que je ne connais pas.
Quelle stupéfaction, quand, un jour, j’aperçois dans ma rue le visage de cette femme cultivée,
et charmante, dont je vous parle et qui arrive raquette de tennis sous le bras !
Je m’avance vers elle et lui dis : je crois vous avoir rencontrée au Lyceum. Regrettant de ne pas
la voir plus souvent, j’engage la conversation. Michelle m’explique que, pour des raisons
familiales, elle ne peut pas participer autant qu’elle le voudrait aux activités du Lyceum.
En 2017, Michelle est seule. Je l’incite à nous rejoindre au cercle de marche du Ranelagh.
Là Élisabeth Germain la découvrant l’invite à participer à notre cercle de conversation anglaise.
Et nous partons ensemble dans le même train et le même hôtel aux AG à Troyes et à Bordeaux.
Et je l’espère bientôt à Caen...
L’amitié n’ayant pas d’âge ni de temps, je pourrais dire à la du Bellay :
Heureuse qui, comme Michelle a fait des beaux voyages
En s’aventurant jusqu’aux îles Salomon
et puis est retournée pleine d’usage et de raison,
Vivre auprès de ses amies du Lyceum le reste de son âge,
Michelle écrit beaucoup mieux que moi et ce sera ma conclusion :
« Si, dans mes premières années au club, je n’ai pas pu être très présente pour des raisons
familiales, je me suis bien rattrapée depuis ! ».
Je te remercie, chère Michelle, de ta précieuse amitié et suis très heureuse que notre présidente,
Pascale Anderson Mair, te remette aujourd’hui la médaille de tes 25 ans de présence au Lyceum.
AG le 3 février 2022
Monique Muyard


Présentation de France Barjou

Je suis heureuse et fière de vous présenter une nouvelle lycéenne, France Barjou ; pour certaines d’entre vous France est un visage familier puisqu’elle avait participé à quelques visites d’expositions et autre sortie de fin d’année du temps de Femmes Actives. 

 Elle a depuis ralenti son rythme professionnel et peut maintenant rejoindre notre association. 

France est une amie.

Pour vous la présenter je vais donc évoquer son évolution professionnelle, très riche, très dense. 

Ton parcours , ma chère France débute dans les années 80 , tu te lances dans l’univers de la mode et deviens responsable du showroom de Pierre Cardin ... tu ne t’y attardes pas, six ans plus tard tu rejoins un bureau d’études de projets industriels au service des appels d’offres .Tu ne t’y attardes pas non plus , tu es en effet très vite rattrapée par l’histoire entrepreneuriale de ta famille :  ton père et ta mère dirigent chacun leur propre société, la famille se vit comme  « une sorte d’incubateur de culture entrepreneuriale »…tout naturellement ton parcours s’inscrit alors au sein d’une des sociétés familiales : entre le cartonnage ondulé et l’emballage métallique , ton cœur balance , tu choisis finalement la seconde et «manages«  ainsi dans les années 90 les ventes , le marketing ,les partenariats à l’international -en particulier avec la Chine - de cette société - Metpco -dont tu intègres ensuite le conseil d’administration.  . 

Bon sang ne saurait mentir, cet esprit d’entreprendre encourage et facilite les initiatives originales : ainsi quelques années plus tard - nous sommes dans les années 2000, séduite par le bambou que tu découvres en Asie, tu lances aussitôt une agence d’importation de ce matériau destiné au revêtement de sol pour des architectes de renom. Ce fut un grand succès ! 

En parallèle, autre grand succès et non des moindres une vie familiale harmonieuse auprès de ton mari et de vos trois filles.

Arrivent ensuite la cinquantaine et son lot de questionnements, le temps de la maturité  est venu : ce bagage d’expériences , cette énergie de créer , d’avancer que tu as mis au service de ta vie entrepreneuriale t’ont permis  « d’ouvrir tes ailes » , te poussant à réfléchir au sens que tu avais alors envie de donner à ton parcours professionnel ;  tu découvres et te formes alors à la thérapie Trans générationnelle et à la psycho généalogie  - là il ne s’agit plus de ta famille  et de la transmission associée mais bien de celle de tes patients - tu crées ton cabinet de thérapeute en 2017 . 

Écouter, faire grandir, accompagner l’autre, pour l’aider à lâcher ses souffrances et trouver une forme de liberté, voici ce qui devient ta passion, ton nouveau métier. 

 .

Certaines d’entre vous se demandent sans doute ce qui se cache derrière ce concept encore peu connu : la thérapie Trans générationnelle. Et pourtant ! Qui n’a pas dans son entourage plus ou moins proche des personnes qui ont tout pour être heureuses et qui, sans comprendre, se retrouvent dans une situation de grande détresse psychologique ?

La thérapie Trans générationnelle nous invite à « rechercher dans l’histoire familiale l’origine de certains de nos troubles psychologiques, de nos émotions, de nos comportements ou événements que nous vivons ». Cette approche thérapeutique tente d’expliquer nos luttes intérieures par certains événements qui ont bouleversé nos aïeux et auraient eu des répercussions sur nous. On parle de « traumatismes Trans générationnels » voire même de « fantômes familiaux ».

 C´est cette nouvelle voie que tu as choisie désormais d’explorer, ma chère France, Thérapeute : te pencher sur les blessures des uns, faire rayonner ton dynamisme pour aider à résoudre les conflits psychiques des autres, remonter le temps de l’histoire familiale de chacun par ton écoute attentive.

Pour conclure, vous l’aurez compris, France est une belle personne au sens propre comme au sens figuré. Dans sa lettre de motivation elle précise « j’ai envie de faire partie du Lyceum pour partager, créer des liens, sentir une complicité, appartenir à un groupe, transmettre à ceux qui en ont besoin mon énergie joyeuse et dynamique ». 

Chère France tu as ouvert la bonne porte, bienvenue au Lyceum au sein duquel je gage que les belles valeurs qui t’animent trouveront leur plein épanouissement ! 

Isabelle Schlumberger


Présentation d'Ingrid Nappi

En l’absence de ses marraines, Florence Scholten et Annick Fréard du club de Bretagne, j’ai le plaisir de vous présenter Ingrid Nappi et j’espère faire honneur à un CV impressionnant. Le format 3 minutes ne permettra pas de lui rendre justice et je la prie ainsi que vous toutes de m’en excuser par avance.

Ingrid est docteur es sciences économiques appliquées de l’Université de Paris XII et a une longue et très belle carrière dans les milieux universitaires tant en France qu’à l’étranger.

Elle est professeur des Universités et intervient à ce titre à l’ESSEC où elle est la titulaire fondadrice de deux chaires : une en immobilier et développement durable et une deuxième en « Workplace management ». Elle est aussi fondatrice du Grand prix Essec de la ville solidaire et de l’immobilier durable. Elle intervient également à l’école des Ponts /ParisTech , à l’université de Paris-Sorbonne-Abudhabi et à la prestigieuse Paris School of Economics sans oublier l’Université de Saint-Louis à Bruxelles.

Ingrid est une économiste reconnue spécialisée dans l’immobilier, le développement durable, la ville et le « workplace management » et est intégrée dans de nombreux comités d’experts et de scientifiques pour les ministères des finances, de la culture ou encore le Grand Paris.

Elle est aussi administratrice dans plusieurs écoles, associations et observatoires et a une activité de conférencière très active auprès des media.

Au-delà de ses multiples interventions, publications et contrats de recherche, Ingrid apporte plusieurs choses importantes à notre club

-       Bien-sûr, la capacité à animer des conférences passionnantes pour nous informer sur des sujets d’actualité que sont le grand Paris, le développement durable, la compréhension de l’immobilier d’entreprise dont l’impact du télétravail pour ne citer que quelques exemples. 

-       Mais surtout elle un talent de musicienne exceptionnelle. Ingrid joue remarquablement du piano ainsi que du violoncelle. Elle a émerveillé les invités des 40 ans du club de Bretagne avec un très beau récital de musique romantique et je sais qu’elle sera ravie de jouer pour nous toutes. 

Je suis très heureuse qu’une personnalité aussi dynamique, moderne et complète nous rejoigne et je vous remercie de vous joindre à moi pour lui souhaiter la bienvenue.

Pascale Anderson Mair


Réunion du Comité de la Fédération Française du Lyceum Club International

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