[**”L’homme qui voulait être heureux”*] de Laurent Gounelle

Voici un petit livre que nous avons beaucoup aimé.

Le héros – qui ressemble beaucoup à l’auteur sans doute – achève un séjour à Bali. A la recherche du bonheur, il consulte un vieux sage très étonnant. Grâce à une initiation progressive, il découvre des vérités essentielles :
“on est ce que l’on croit” : quand on se voit moche, les autres nous voient moches” (et inversement). Le corps et l’esprit sont liés. D’où l’impact des placebos. Il ne faut pas avoir peur du rejet. La vie c’est s’ouvrir aux autres, vous êtes le maître de votre destin. “C’est à toi de choisir et de vivre ta vie”.

Plongées dans l’euphorie, nous avons décidé de lire un autre livre de Laurent Gounelle : [**”les dieux voyagent toujours incognito”*].

L’ambiance est plus sombre : une tentative de suicide du haut de la tour Eiffel – à l’instant fatidique, un homme s’interpose – en échange, il demande l’engagement de faire tout ce qu’il demandera. Comment dépasser les peurs et les inhibitions ?

Le héros va apprendre à s’affirmer, à refuser les compromissions de la vie sociale moderne, avide et hypocrite. Le “happy end” nous a surprises et un peu déçues.

Nous allons changer d’optique en choisissant pour la prochaine fois un roman policier “haut de gamme”, se situant au retour de Nelson Mandela à la vie politique, en Afrique du Sud :[** la lionne blanche de Henning Mankell *]