Il fait beau pour la 49e assem- blée générale de la Fédération française qui se tient à l’hippodrome de Pau, en ce mercredi 10 octobre 2012. Françoise Vernes, la présidente du club de Pau, prononce quelques mots d’accueil et remercie les 150 lycéennes de leur présence ce matin. (14 clubs sur 15 sont représentés, seul manque celui de Saint-Barthélemy).
Lui succède la présidente nationale, Muriel Hannart, qui évoque ses dépla- cements au cours de l’année écoulée et le plaisir qu’elle a éprouvé en répondant aux invitations des différents clubs. « Ce sont de belles occasions de rencontres et d’amitié et j’invite chacune d’entre vous à utiliser notre grand réseau lycéen. N’hésitez pas à signaler votre passage et a prendre contact avec la présidente de la ville dans laquelle vous allez séjourner, vous serez toujours bien reçues. » Puis, Muriel souligne la dimension inter- nationale du Lyceum par les multiples jumelages entre clubs français et étran- gers et les rencontres qui en découlent. Elle enchaîne avec quelque temps forts, programmés pour 2013 : les journées multiclubs à Orléans en mars, le concours littéraire avec la réunion du jury en avril et la remise du prix à l’AG à Dijon, en octobre. Elle rappelle le congrès international à Perth en mai. Sabine Coiffe, vice-présidente présente le voyage de précongrès d’une douzaine de jours qu’organise la fédération pour découvrir un peu l’Australie. L’après-midi, quelques Grenobloises ont choisi de découvrir le Pau romantique et de la Belle Epoque, ce qui leur a valu de voir quelques beaux immeubles et d’élégantes villas du 19° siècle. Et les nuages se sont écartés à temps pour leur permettre de voir le Pic du Midi d’Ossau (2884 m), surnommé “Jean-Pierre”, géant de pierre !
La journée s’achève par un dîner de gala, et si les Lycéennes n’ont pas été baptisées, comme le bon roi Henri, à l’ail et au jurançon, elles peuvent néanmoins apprécier ce breuvage, au Palais Beaumont. Le lendemain est consacré à la découverte de la vallée d’Aspe. Pas même le temps de manger une célèbre « poule », mais juste celui de se donner rendez-vous à la 50e assemblée nationale à Dijon, l’année prochaine.
D’après Claire Guillaud, Sabine Hudault et Caroline Mignot